Catégories
Catalogue de livres numériques aux formats : - ePub - Mobi
La saga "Wan & Ted" autour d'un duo de détectives atypiques et loufoques.
Collection autour de détectives oubliés de la littérature française du XIXème siècle.
Les aventures de Toto Fouinard, le petit détective Parisien.
JOURNAUX DE JADIS Jadis, les journaux quotidiens ou hebdomadaires ne se contentaient pas de livrer de l’information aux lecteurs, ils proposaient également de la littérature, principalement sous forme de feuilletons qui s’étalaient sur plusieurs dizaines de numéros. Parmi les auteurs de ces feuilletons, de grands noms de l’époque comme Alexandre Dumas ou Victor Hugo, mais aussi des écrivains qui se sont fait un nom avec leurs œuvres destinées aux journaux et éditées, par la suite, en un récit complet sous forme de livre papier. La collection « Journaux de Jadis » s’intéresse plutôt aux auteurs qui sont restés dans l’anonymat ou à ceux qui ont utilisé leurs productions pour les gazettes comme laboratoire pour se confronter à d’autres genres littéraires que celui pour lequel ils étaient déjà réputés. Derrière cette collection se cache donc de longues nouvelles ou de courts romans qui n’ont pas eu la gloire d’une édition sous format livre papier, mais, qui méritaient d’être redécouverts par les lecteurs. C’est chose faite maintenant.
Les enquêtes du commissaire Barma et/ou du détective Paul Duval
Les aventures mouvementées à travers le monde de Jim Paterson, alias Mister Silence, ancien agent du F.B.I..
Marius PÉGOMAS, Détective marseillais, se présente : Simple citoyen de Marseille devenu, par la force des choses, le détective français le plus réputé, il va raconter ses merveilleuses aventures dans des livres numériques. Chacun d’eux contiendra un roman complet et absolument inédit, de 3.000 lignes que, grâce aux progrès des moyens techniques, OXYMORON Éditions peut offrir au prix de moins de UN euro. En lisant, à chaque parution, ces romans stupéfiants plus saisissants encore parce qu'ils sont vrais, le lecteur ne pourra manquer d'éprouver une émotion intense, et quand il en aura parcouru un, il voudra les connaître tous, car ils sont dus à la plume de Pierre YRONDY, l'auteur de Thérèse Arnaud, Espionne française. Marius PÉGOMAS, Détective marseillais, est un type véritablement extraordinaire, qui, au milieu des situations les plus tragiques, conserve sa bonne humeur, son ironie mordante et cette blague inimitable chère aux enfants de la Canebière. Marius PÉGOMAS, Détective marseillais, n'a pas son pareil pour résoudre les énigmes les plus obscures. Et bien souvent, la police doit faire appel à sa collaboration. Les romans de cette série pourront être mis entre toutes les mains. Ils sont le type parfait du roman familial. Petits et grands se passionneront, et attendront avec impatience la prochaine parution qui leur apportera trois heures de lecture saine et captivante.
Marc-Antoine DECOME était un policier alcoolique, violent, lubrique et vénal. À la suite d’une bacchanale, il a sombré dans une piscine puis dans le coma durant trois mois. À son réveil, il est devenu un autre homme. Adieu la capitale, le boulot de flic, la boutanche et le stupre ; bienvenue au détective, à la Ville de Perpignan, à la sobriété et à une particularité toute singulière qui lui fait voir les gens au pluriel. Mais ce don ne lui servirait à rien s’il n’était pas épaulé par le Commissaire Robert, un basset hirsute et puant ainsi que, par Damien Österreichischer Ben Abdalla, un jeune de cité féru de romans policiers, qui apprendra, à ses dépens, que la vraie vie de détective est très éloignée de celle de ses héros de papier. Dorénavant, Perpignan a son shérif et il se nomme : « Marc-Antoine DECOME ».
Collection de courts romans en format numérique (ePub / MOBI)
SÉRIE ROUSSE, « Série » comme « Série Noire », « Rousse » comme « Police », en argot. La « Série Rousse » est donc une collection hommage à la « Série Noire », une série policière, mais aussi une série clin d’œil à la collection « Police et Mystère » et aux autres collections similaires des éditions J. Ferenczi & fils qui ont fait les beaux jours des lecteurs des années 30 jusqu’aux années 60 du siècle précédent et qui ont permis à des auteurs de talent de s’exercer dans des romans de genres et de tailles différents. La « Série Rousse » regroupe donc de courts romans policiers (entre 17 000 et 25 000 mots) écrits par des auteurs ayant participé à l’essor de la littérature populaire du début du XXème siècle.
Gustave GAILHARD (???? – 1943) fait partie de la longue liste des auteurs qui ont participé grandement à l’essor de la littérature populaire à la première moitié du XXème siècle et qui faute de chance ou d’une meilleure mise en valeur de leurs personnages récurrents ont, peu à peu, sombré dans l’oubli. Si la première enquête de Serge Vorgan entre dans le cadre exact de ce qui se faisait à l’époque, tant dans le développement du héros que dans l’intrique elle-même, l’un comme l’autre évolue au cours des titres, évolution s’accompagnant de celle du style de l’auteur dont la gouaille est annonciatrice de la plume d’un Frédéric Dard ou d’un Léo Malet. Les enquêtes de Serge Vorgan font l’objet de textes de tailles différentes. Cet aspect, qui n’était pas si rare à l’époque (se reporter à la collection « Commissaire Rosic ») confère un attrait tout particulier à ce genre d’œuvre. Car, en effet, le lecteur n’appréhendera pas pareillement un texte de 32 pages qu’un roman. De la même façon, l’auteur usera sa plume autrement d’un roman à un fascicule. Un retour nostalgique dans ce que la littérature populaire policière proposait de mieux dans la première moitié du XXème siècle.
« KatreCar » ou, tout simplement, « 4/4 », est une collection d’ouvrages composés de Quatre nouvelles policières de Quatre auteurs différents, offrant, chacune, un bon Quart d’heure de lecture. Quatre gros Quarts d’heure… donc, plus d’une heure de détente par livre, proposée par de grands noms de la littérature policière ainsi que par des auteurs confirmés dont le nom ne résonne désormais plus qu’aux oreilles des amateurs comme René Pujol, Jacques Bellême, André Lichtenberger… À dévorer sans modération, les opus de la collection « KatreCar » sont parfaits pour combler divers moments de la vie quotidienne, aussi bien dans les transports en commun que dans une salle d’attente, mais aussi pour les petites fringales littéraires qui peuvent se déclencher à tout instant de la journée.
La collection « Odilon QUENTIN » regroupe les 47 enquêtes menées par Odilon QUENTIN, inspecteur à la Sûreté, qui sera vite promu au grade de commissaire grâce à son aptitude à résoudre promptement les affaires qui lui sont proposées. Odilon QUENTIN use de son apparence terne pour briller dans son métier. Avec son physique de cinquantenaire vendeur de bétail à l’embonpoint certain, au crâne replet et dégarni et aux gros yeux vides d’intelligence, il inspire immédiatement confiance à défaut de méfiance et nul ne soupçonnerait qu’une tête aussi empâtée puisse être douée d’une finesse d’esprit et d’une perspicacité sans pareille. Sa vêture va de pair avec son personnage et sa façon de rejeter en arrière, sur sa nuque, son feutre mou et de porter sans cesse une canne de bambou renforce l’image d’un type bonhomme dont on ne peut rien craindre. Mais Odilon QUENTIN se sert de ses atouts et les surjoue quand il doit entrer en contact avec les gens du « peuple » et, surtout, les concierges qui sont sa meilleure source d’informations. Parlant le même langage, prompt à noyer sa langue dans le calva pour délier celle de l’individu qu’il interroge sans en donner l’air, ôtant toute réserve à l’autre, il obtient alors bien plus de renseignements, et plus rapidement que s’il utilisait les techniques d’interrogatoire classiques. Mais Odilon QUENTIN peut aussi compter sur un duo de subalternes qui ont chacun leur fonction et leurs qualités. Ces très courts romans indépendants – chacun contant une histoire dans son intégralité et écrite par un auteur à tel point énigmatique que l’on n’en connaît que le pseudonyme – proposent une lecture agréable et idéale pour les petites fringales littéraires. Lors des transports en commun, dans les salles d’attente, sur la plage, ou pour combler une petite heure creuse, les enquêtes d’Odilon QUENTIN seront la distraction parfaite.
Rosic (évitons de trop citer le prénom du policier qui n’apparaît que fugacement au détour d’une enquête), n’est pas un héros ordinaire, du moins pas un policier sans peur et sans reproche, dur à cuire, fin limier et qui gagne toujours à la fin. Non, le commissaire Rosic est bien plus humain que la plupart des héros de papier parce qu’il est faillible. Pire, il est égocentrique et par gloriole personnelle il est capable de s’approprier les résultats d’un autre, sans aucun remords. Pourtant, l’homme est à la fois courageux et généreux, bien qu’il soit obtus et, parfois, détestable. Les enquêtes de Rosic font l’objet de textes de tailles variables. Si cet aspect est plutôt gênant pour qu’elles puissent être regroupées chez un éditeur « classique » (OXYMORON Éditions n’étant pas un éditeur « classique »), il confère un attrait tout particulier à l’œuvre. Car, en effet, le lecteur n’appréhendera pas d’une façon identique un texte de 32 pages qu’un roman. De la même façon, l’auteur usera sa plume autrement d’un roman à un fascicule.
L’un des héros les plus appréciés de la littérature policière est, sans conteste, le détective anglais Sherlock Holmes. Si tout le monde sait qu’il est né sous la plume d’Arthur Conan Doyle, certains ignorent encore que l’enquêteur misanthrope a été calqué sur le personnage français de Maximilien Heller développé par Henry Cauvain dans le roman éponyme édité bien des années avant la parution d’« Étude en rouge », signant la première apparition de Sherlock Holmes. Puisque Sherlock Holmes avait été inspiré par un Français, il était logique qu’il inspire, à son tour, d’autres écrivains de l’Hexagone. La Collection « 221 » regroupe des textes parmis les premiers pastiches ou avatars de Sherlock Holmes en langue française.
John Strobbins de José MOSELLI John Strobbins, c’est un peu le fils caché de Fantomas et d’Arsène Lupin. C’est un cambrioleur, aventurier, justicier, possédant des moyens démesurés, sachant se déguiser à la perfection, ayant à ses ordres un gang complet avec des ramifications dans le monde entier et aimant narguer l’autorité et, plus précisément, le chef de la police de San Francisco, James Mollescott – tout comme Fantomas le faisait avec l’Inspecteur Juve. Plus cambrioleur et aventurier que détective, John Strobbins surfe sur les succès de l’époque et navigue plus dans un monde fait d’aventures, de déguisements et de poursuites que celui plus purement policier que pouvait proposer un « Sherlock Holmes », par exemple. Situé, certes, du mauvais côté de la barrière, John Strobbins n’en est pas moins mû par une éthique professionnelle et un code moral. Voleur ! Oui, mais pas tueur et, surtout, s’il déleste des personnes de leurs biens, il choisit toujours des hommes riches, détestables et à l’honnêteté discutable. En parallèle, dès qu’il le pourra, il rendra justice sans oublier, au passage, de se garnir les poches. José MOSELLI est né le 28 août 1882 à Paris et est mort le 21 juillet 1941 au Cannet. Parlez de José MOSELLI à un passionné de littérature populaire et vous êtes assurés de voir ses yeux clignoter de plaisir. Évoquez-le devant un lecteur lambda et vous constaterez immédiatement que ce nom ne lui évoque rien. L’auteur est devenu tellement « Culte » auprès des aficionados de littérature populaire, autant par son parcours que par sa production, que l’on peut encore croiser des lecteurs dont les pères ou grands-pères leur contaient, enfants, leurs souvenirs de feuilletons désormais introuvables dont l’écrivain a inondé les journaux de l’époque.
Mona Stella, une starlette aveuglée par la promesse d’un très généreux contrat cinématographique se retrouve victime de l’Homme au stylo, un ingénieux et charismatique cambrioleur qui endort ses proies à l’aide d’une seringue cachée dans un stylo avant de les détrousser de leurs biens. Un tout jeune reporter désireux d’écrire un papier sur l’affaire, contacte son ami, le célèbre détective Furet, et le met au défi d’arrêter le gredin. Après un premier refus, l’enquêteur décide de relever le challenge et va se lancer dans une course-poursuite avec le malfaiteur où chacun rivalisera d’ingéniosité, de fougue et de courage pour contrer son adversaire… donnant à l’expression « jouer au gendarme et au voleur » toute sa signification…
Les enquêtes mouvementées de M. Dupont, détective de José Moselli.
Paul MAX (1884 – 1944) fait partie de la longue liste des auteurs qui ont participé grandement à l’essor de la littérature populaire au début du XXème siècle et qui, faute de chance ou d’une meilleure mise en valeur de leurs personnages récurrents, ont peu à peu, sombré dans l’oubli. Paul MAX est né à Alger en 1884. Il émigre en Belgique et y est naturalisé. Devenu journaliste il sera, entre autres, rédacteur de L’Étoile Belge. Il utilise également sa plume pour l’écriture d’ouvrages dès 1913. Dans les dernières années de sa vie, l’auteur Paul MAX se concentre sur le genre particulier du « polar ». En 1937, probablement par volonté de surfer sur le succès des auteurs anglo-saxons et le goût des lecteurs de l’époque pour les écrivains d’outre-Manche, il écrit « Début dans la police » sous le pseudonyme de A. M. HYCHX dont il prétend être le traducteur. Ce roman policier est publié dans la Collection « Le Masque » et fait naître un héros particulier « Billy Mac Tiddle », un jeune écossais vendeur de chaussettes qui débarque à Londres pour installer un commerce et qui se retrouve, par hasard, à devenir détective. Ce personnage reviendra, plus tard, dans de multiples enquêtes, au sein de diverses collections chez différents éditeurs. Aussi, la collection « Le Roi de la Chaussette » a été créée pour offrir aux lecteurs d’aujourd’hui la facilité que n’eurent pas les lecteurs d’hier pour suivre au mieux l’intégralité des aventures du détective écossais. Vous n’aurez donc plus l’excuse de vos aïeuls pour ne pas apprécier les enquêtes du vendeur de chaussettes…
Des divers récits qui suivent, quelques-uns ont été rédigés à l’aide des notes et dossiers que m’a confiés l’inspecteur Mic (1) ; d’autres m’ont été directement racontés par lui, et furent transcrits par moi aussi exactement que possible. Réunis tels quels, ils constituent pour ainsi dire les mémoires du célèbre policier, dont je ne fus, en l’occurrence, que le fidèle secrétaire et le confident. Alfred MORTIER (1937). (1) Son nom véritable était Micanel, mais dès le collège, ses camarades l’appelaient déjà Mic, et cette abréviation familière a persisté durant toute sa carrière.
Maxime AUDOUIN, de son véritable nom Léon Eugène DELACROIX, est né à Saint-Michel-en-l’Herm en 1858 et décédé à Pouliguen en 1925. D’abord enseignant, puis principal de collège à Fougères, en Ille-et-Vilaine, c’est dans cette paroisse qu’il se passionne pour l’écriture à travers la tenue d’une chronique, « Le Pourciau du père Michel, paysannerie », dans la gazette locale. Si désormais il est difficile de trouver plus amples informations sur l’homme, celui-ci laissa, malgré tout, derrière lui, une importante production composée de centaines de contes et nouvelles et de plusieurs romans dont la plupart furent publiés dans la presse sous forme de feuilletons avant d’être traduits, notamment pour les lecteurs espagnols, ou livrés, tels que, aux Québécois…
Old Jeep, de son vrai nom Gordon Periwinkle, est un jeune policier américain d'une trentaine d'années, souple, élégant, beau gosse, ancien acrobate, dont la renommée n'est déjà plus à faire. Marcassin est commissaire de police en France. C'est un cinquantenaire mafflu, à la moustache grisonnante, charpenté et rustique, à l'intelligence et la perspicacité qui ne sont plus à démontrer. Les deux hommes se sont connus lors de la libération de Paris et, partagent les mêmes valeurs et le même don pour les affaires de polices. Ils vont collaborer après la guerre pour résoudre des enquêtes de plus ou moins grandes envergures.
Qui est au juste Monseigneur ? Cet homme s’auréole d’une véritable légende. On le sait original, quelque peu bohème, un brin querelleur et vivant seul au dernier étage d’une vieille maison de la rue de la Harpe. On n’ignore pas non plus qu’il avait été déporté pour fait de résistance à Buchenwald et qu’il se lie volontiers d’amitié avec tous les pauvres bougres du quartier. Ses moyens d’existence sont un mystère, et plus mystérieux encore, son passé, dont il ne parle jamais. Enfin, si on lui donne quelquefois son prénom de Joachim, on l’appelle plus communément Monseigneur, sans doute à cause de ses façons qui ne manquent pas de noblesse, mais, aussi, de sa belle prestance et de son visage plein de caractère, orné d’une moustache blonde à pointes tombantes, à la gauloise. On colporte également qu’il est à la fois généreux et emporté, qu’il a le billet de banque aussi facile que le coup de poing. Mais ce qu’on sait, par-dessus tout, c’est qu’il est perpétuellement accompagné d’un chien. Son chien – son « clebs », comme il dit, – le complète. C’est un splendide berger allemand, un loup de Lorraine, qu’il a ramené de Buchenwald, où il s’est complu à le dresser. Un mot, un regard, un signe du maître... et Diabolo – c’est le nom de l’animal au courage admirable et au flair infaillible – obéit. Il n’obéit même qu’à lui. On n’ignore pas non plus que cet étrange duo fréquente parfois les gens de la police à qui il rend service sur des enquêtes.
Des enquêtes qui auront de quoi ébranler l’esprit cartésien du Détective Lautrec, mais celui-ci pourra compter sur l’intelligence et la perspicacité qui ont fait sa gloire pour résoudre ces ténébreuses enquêtes.
Les enquêtes de Claude Prince, le célèbre détective radiesthésiste.
Recueils des enquêtes d'Elsa Van Laeghels, détective privée.
Les enquêtes de l'Inspecteur Gaspin de Claude Ascain
Mince et élancé, un monocle à son œil noir, la moustache frisée sur deux lèvres rouges et souriantes, telle est la description physique du baron STROMBOLI, héros de José MOSELLI. S’il partage avec Arsène Lupin son aisance à naviguer dans la haute société pour mieux sélectionner les victimes de ses futurs « emprunts », c’est avant tout du côté de John Strobbins – un autre personnage créé par José MOSELLI, – qu’il faut chercher des similitudes dans les moyens qu’il déploie pour arriver à ses fins. Mais là où John Strobbins ne sévissait quasiment qu’aux États-Unis, le baron Cesare STROMBOLI, lui, « travaille » dans le monde entier, ce qui lui vaut son surnom de « Gentilhomme International »…
À la question classique : « Qu’eussiez-vous aimé comme profession si vous n’aviez pas choisi celle de détective ? », Jo Garnier avait répondu, avec ce cynisme souriant qui n’appartenait qu’à lui « Sans nul doute, j’aurais été acteur. J’ai une âme de cabotin... ». Mais il était devenu directeur de sa propre agence : l'agence Garnier, composée de son fidèle ami Bernoux, alias « La Fouine » et de sa belle secrétaire Christiane, alias Cricri.
Gustave GAILHARD (???? – 1943) fait partie de la longue liste des auteurs qui ont participé grandement à l’essor de la littérature populaire à la première moitié du XXème siècle et qui faute de chance ou d’une meilleure mise en valeur de leurs personnages récurrents ont, peu à peu, sombré dans l’oubli. Publié dans plusieurs collections chez de nombreux éditeurs (« Arthème Fayard », « Ferenczi & Fils », « Éditions La Baudinière », « La Nouvelle Revue », « Jules Tallandier », « Éditions du Livre Moderne »…) et sous divers pseudonymes (Gustave Gailhard, Louis Bonzom, Silvio…), c’est avant tout dans les collections « Ferenczi & Fils » qu’il s’épanouit dans le roman policier. Le « polar » lui permet de développer deux personnages récurrents, Marc Bigle et Serge Vorgan qui se croisent sur plusieurs titres. La première aventure de Marc Bigle, un peu plus concise que les suivantes, et éditée dans une autre collection, n’est qu’une mise en bouche esquissant un personnage qui, de trop normal et trop honnête, bascule dans une vie de luxe et d’aventures à la suite d’un choix cornélien, les suivantes vont faire vivre un héros drôle et attachant qui prendra des airs du « Candide » de Voltaire. La collection « Marc Bigle », s’attache à regrouper les divers textes dans lesquels apparaît l’aventurier, dans l’ordre d’écriture, excepté le premier épisode, probablement écrit après les autres afin de proposer la genèse d’un héros ayant déjà vécu différentes aventures.
Les merveilleux exploits de Martin Numa, le Roi des Policiers. Par Léon Sazie, l'auteur de « Zigomar »...
Les enquêtes d'Alain Barrois, le Roi des Détectives.
STAN KIPPER le célèbre détective américain résout les énigmes policières les plus compliquées. Ne reculant jamais devant les enquêtes les plus dangereuses, bravant la mort, STAN KIPPER – LE ROI DES DÉTECTIVES – a déclaré la guerre au crime et, sur tous les points du globe, il traque les malfaiteurs acharnés à sa perte. Le récit de ses aventures vous passionnera.
Avec « LES BANDITS DU RAIL », Georges SPITZMULLER (1867–1926) nous livre une saga policière rocambolesque et exaltante qui tient le lecteur en haleine jusqu’à son dénouement sans jamais perdre de son intérêt un seul instant. Ce foisonnant récit aux multiples personnages et rebondissements démontre combien l’auteur maîtrisait à la fois le format, le genre et la narration. Édité à l’origine en 1921 sous la forme de fascicules qui sont désormais introuvables, il était temps que le roman-feuilleton « LES BANDITS DU RAIL » retrouve sa fonction première, celle d’enchanter les lecteurs. Que ce souhait de l’écrivain soit aussi vrai auprès des lecteurs d’aujourd’hui qu’il le fût avec ceux d’hier, car Georges SPITZMULLER n’avait d’autre but que celui-ci.
Maurice PARENT n’est pas un homme de parti pris ; il est par nature ni bienveillant ni malveillant ; en général, à la première rencontre, il est froid, mais sans sécheresse ; poli, mais sans affectation. Ne se livrant pas tout de suite, il semble attendre que quelque circonstance guide son choix. Mais Maurice PARENT est surtout intelligent, perspicace, patient, opiniâtre et observateur, toutes les qualités que requiert le métier de détective, c’est donc tout naturellement qu’il quitte la sécurité d’un métier de fonctionnaire pour se lancer dans des enquêtes… « Les enquêtes de Maurice PARENT » sont la résultante de la première incursion de l’auteur Jules LERMINA dans le genre « policier » avant la grande réussite de la série « Toto Fouinard ». Mais, Jules LERMINA nous propose là un autre exercice de style, loin du genre sériel et aventurier qui portera ensuite Toto Fouinard, il développe, ici, une série toute particulière, hétérogène, où, tout en conservant un même personnage, Maurice PARENT, et un style plus cérébral, il alterne les narrations, la longueur de ses textes et l’incursion de son héros dans ceux-ci comme aucun auteur ne l’avait fait avant lui et ne l’aura fait après. La courte série « Les enquêtes de Maurice PARENT » fait donc figure d’ovni littéraire dans le monde du roman policier, une œuvre à découvrir au plus vite.
Le « père Leboeuf », est un ancien policier à la retraite qui, par goût du challenge, accepte de donner parfois un coup de main à ses anciens collègues. Pour autant, il est tout aussi prompt à rentrer chez lui pour s'occuper de ses rosiers. C'est un homme pragmatique, avec un certain détachement pouvant passer pour du laxisme ou de l'indifférence.
L’Agence Walton est composée de quatre membres : Teddy Walton, le boss jeune, charismatique, courageux et intelligent ; Babe Gilmore, sa belle et courageuse petite amie ; Ben Spirtz, l’homme imperturbable ; Bill courant, l’homme à la face de rat. Ces deux derniers sont surnommés les « Deux B ».
Rodolphe BRINGER, né en 1869 (certaines sources citent 1871 comme date de naissance) a très tôt été attiré par l’écriture, ce qui le décida sûrement à se diriger vers le journalisme. Son goût pour la fantaisie le guide plus particulièrement vers la presse humoristique et satirique (mais pas que) qu’il abreuve de ses nombreux contes et nouvelles. En parallèle, il écrit des romans dès 1894, alternant les récits d’amour, d’aventures, de cape et d’épée, historiques, patriotiques… et, enfin, policier...
À la fois cambrioleur mondain, détective, justicier, patriote et bienfaiteur, Théodore ROUMA use de multiples identités pour infiltrer les divers milieux que ses aventures le poussent à côtoyer et pour échapper à l’inspecteur LARBART, le policier qui a juré sa perte...
Les espions sont généralement des êtres vils, des êtres décriés qui pratiquent la délation dans le but unique de servir leurs appétits de lucre et de débauche. Il n’en est pas de même de THÉRÈSE ARNAUD dont la conduite pourrait servir d’exemple à bien des hommes et des plus courageux. Au début de la guerre, ayant assisté au meurtre de son père commis par les Allemands, elle avait, tout naturellement, comme elle le dit, « pris du service ». Trop vaillante pour jouer le rôle effacé d’infirmière, le cœur gonflé d’un trop profond amour pour la France, elle avait consacré son intelligence, sa connaissance des langues, sa beauté, sa force, son dévouement, son courage et, il faut le dire, son génie à une besogne plus directe. THÉRÈSE ARNAUD NE PEUT ÊTRE COMPARÉE À AUCUN AUTRE AGENT SECRET. Toujours sur la brèche, toujours en plein danger, son cœur jamais ne faiblit, même durant les interrogatoires les plus dangereux. Bien au contraire, elle ne cessa de se jeter audacieusement au plus fort du péril. Cent fois, elle se trouva en pleine bataille ; non pas dans des batailles d’où l’on ressort chargé d’honneurs et de gloire, mais dans des batailles anonymes, contre des ennemis invisibles, inconnus et, par là même, d’autant plus à craindre. THÉRÈSE ARNAUD est la plus noble figure de la Grande Guerre. NOUS DEVONS À SA BRAVOURE, À SON HÉROÏSME, PLUSIEURS MILLIERS DE VIES HUMAINES. D’une modestie aussi grande que son courage, elle n’a pas voulu que ses exploits fussent publiés de son vivant. « Plus tard, disait-elle, plus tard... quand, dans ma Terre de France, je dormirai mon dernier sommeil, il sera bien temps... » THÉRÈSE ARNAUD repose, maintenant, dans le cimetière d’un minuscule village de l’Est. Tous ceux pour qui elle s’est sacrifiée sans compter doivent, désormais, savoir comment et dans quelles épouvantables conditions, cette grande Française a magnifiquement combattu pour sa Patrie. Puissent les EXPLOITS DE THÉRÈSE ARNAUD trouver un écho attendri dans l’âme de ce Peuple de France à qui elle avait voué son plus fervent Amour et son incomparable Loyauté !
Les enquêtes du commissaire Benoit et de ses fidèles adjoints : son jeune secrétaire Lissier et l'inspecteur Tolday.
Charles RICHEBOURG est un auteur énigmatique de la littérature populaire française du milieu du XXème siècle. Il a laissé derrière lui près d'une cinquantaine de titres contant les excellentes enquêtes de son commissaire Odilon Quentin. Mais l'auteur écrivit également plusieurs récits d'aventures, sous ce pseudonyme ou sous celui de Désiré Charlus. Tous ses textes démontrent sa maîtrise des genres qu'il abordait et surtout celle du format court (fascicule 32 pages). Il faut ajouter à ces qualités, une plume alerte, un humour toujours présent et des intrigues simples mais jamais simplistes. Un auteur inconnu à redécouvrir d'urgence !
La Fouchardière a écrit de Maurice RENARD : « C’est le premier romancier de notre époque ». Et, d’autre part, Guillaume Apollinaire avait qualifié son Docteur Lerne de « roman subdivin ». Voilà deux esprits bien opposés et qui pourtant s’accordent pour louer avec une ferveur égale. Ce n’est pas tout. Georges Lecomte assure que Maurice RENARD « excelle à tirer de la Science mêlée à la Fable des accents nouveaux » et qu’il est un Jules Verne pour grandes personnes. Il le compare à Poe, à Wells, à Villiers de L’Isle-Adam. J.-H. Rosny l’a admiré en termes qui n’étaient pas moins flatteurs. Pol Neveux le juge « prodigieux ». Mais Maurice RENARD n'a pas écrit que des récits d'anticipation. Cette collection vous propose des textes hétéroclites de l'auteur.
Robert Lacelles, Gentleman-Cambrioleur au grand coeur, est un personnage dans la droite lignée de celui d'Arsène Lupin de Maurice Leblanc. Il est né de la plume de Henry Musnik, auteur de langue française, né au Chili, (sous l'un de ses nombreux pseudonymes, Claude Ascain). Il fut un pilier incontournable de la littérature populaire de la première moitié du XXème siècle.
Les enquêtes de l'inspecteur Vigeon, le policier au flair infaillible de René Trotet de Bargis.
L'inspecteur Paul Barre, riche mondain promis au plus bel avenir et aux plus grandes fonctions, est devenu policier de terrain par vocation et goût des énigmes.
Les enquêtes du détective Yves Michelot et de son jeune assistant Jean Claudin.
Collection consacrée à Albert Boissière, feuilloniste et romancier de talent qui enchanta les lecteurs du premier tiers du XXème siècle.
Pour ceux de nos lecteurs qui ne se seraient pas familiarisés avec BILL DISLEY et son existence trépidante de journaliste détective, nous rappelons que notre sympathique héros est le plus brillant reporter au « Star Express », grand quotidien londonien dont BOB, dit « le Gros Bob », est rédacteur en chef. L’habituel comparse de Bill est JEFF, ancien pickpocket notoire, géant à la compréhension lente, mais à la « droite » impeccable, dévoué corps et âme au journaliste qui le tira autrefois d’un mauvais pas. L’inspecteur MARTIN est, dans la plupart des enquêtes, mêlé aux agissements de Bill. C’est un petit homme ponctuel, bourgeois et sévère, qui professe une grande amitié et une sorte d’admiration pour Bill, bien qu’il soit souvent heurté par la désinvolture avec laquelle notre reporter traite Scotland Yard, ses œuvres et ses pompes. J.-A. FLANIGHAM.
Une aventure de Tancrède Ardant, gentleman cambrioleur et justicier aventurier.
Double vision sur un criminel célèbre. Vision d'un auteur. Vision des journalistes
Les enquêtes de l'inspecteur François Pessart de Marcel Priollet
Le commissaire Jules Troufflard ne partage pas qu'un prénom et le fait d'avoir appartenu à la Brigade Mobile avec un très célèbre homologue de papier. Mais si on peut trouver de nombreux traits physiques et de caractère entre les deux policiers, le commissaire Jules Troufflard n'en est pas moins un personnage attachant qui n'a pas à rougir de sa carrière ni de la plume de son auteur.
Tout monument imposant nécessite de reposer sur des fondations denses et de solides piliers. La littérature populaire, joyau incommensurable de notre culture, n’échappe pas à cette sacro-sainte règle. Si la soif inextinguible des lecteurs pour les récits en tous genres dont l’unique ambition est de distraire le public fait figure de fondations, les piliers en sont incontestablement les auteurs. Comme tout édifice, la littérature populaire a pu s’appuyer sur de nombreuses colonnes. Mais celui-ci se serait écroulé sans les contreforts que représentèrent certains écrivains dont la production fut telle qu’elle maintînt à flot, à elle seule, des collections, des éditions, le plaisir des amoureux d’aventures… Ces noms, il faudrait les citer, les louer et les chérir comme nous le ferions de la Terre, de l’Air, de l’Eau, du Métal et du Feu, ces cinq éléments régissant notre existence, ou de la Vue, de l’Ouïe, de l’Odorat, du Toucher et du Goût, les cinq sens régentant notre corps. Heureusement, la littérature populaire a eu la chance de pouvoir compter sur bien plus que cinq protecteurs. Parmi ceux-ci, on citera sans risque : Marcel Priollet, Henry Musnik, Maurice Limat, Jean de la Hire, Rodolphe Bringer, Arnould Galopin… Mais il ne faudrait pas oublier de mettre en avant un dénommé Henri-Georges JEANNE, plus connu sous le pseudonyme de H.-J. MAGOG. H.-J. MAGOG est né en 1877 à Laon et mort en 1947 à Paris. Il laisse derrière lui une immense production qu’il est assez difficile de quantifier tant celle-ci abreuva de multiples canaux de lecture. Nombre de ses histoires parurent d’abord en feuilleton dans les journaux et magazines – souvent dans plusieurs – avant de revivre, par la suite, en livre. Mais H.-J. MAGOG ne se contenta pas de formats longs, il écrivit également énormément de contes – plus de 600, rien que pour la chronique « Les 1001 matins » du journal « Le Matin » – de nouvelles, de fascicules… Ses genres de prédilections ? Tous ! Du moins, tous ceux à la mode durant sa période d’activité : fantastique ; policier ; aventure ; sentimental ; jeunesse… Pour sa production policière, il créa plusieurs personnages récurrents, dont le détective américain Paddy Wellgone. Celui-ci vit le jour dès 1912 dans « L’énigme de la malle rouge », un excellent polar publié tout d’abord en feuilleton dans « Le Journal ». Ses qualités indémodables lui ont permis de tenir en haleine les lecteurs pendant des décennies au gré des multiples rééditions dans les journaux et sous forme de livres, sous ce titre ou sous d’autres – par exemple, « Le cadavre du tunnel », en 1932 aux éditions R. Simon et signé Paddy Wellgone, en personne, H.-J. MAGOG s’inscrivant en tant que traducteur de ce dernier, un procédé à la mode dans le monde de la paralittérature. – Plus encore, « L’énigme de la malle rouge » fut traduit en Italie, en Espagne, en Europe de l’Est… Un autre personnage récurrent de l’auteur fut Guy Charleval, un détective que l’on peut d’autant plus rapprocher de Paddy Wellgone qu’il partagea les mêmes aventures grâce à un procédé permettant aux auteurs de multiplier les textes : créer un roman à partir de plusieurs fascicules. Ce fut le cas au moins deux fois avec Guy Charleval qui dans « Le détective Milliardaire » revécut – en changeant les noms des protagonistes, – pour les éditions R. Simon, quatre enquêtes de Paddy Wellgone parues aux éditions Ferenczi. Il fit cette expérience une seconde fois, en reprenant la « vie » d’alter egos dans « La bande des masques bleus ». Mais ces multiples éditions et les « supercheries » d’éditeurs ne doivent pas pour autant minimiser la bibliographie de H.-J. MAGOG qui n’est, d’ailleurs, pas signée que de ce seul patronyme. Car Henri-Georges JEANNE usa de différents pseudonymes pour parapher ses textes : Jean Noal – inspiré très probablement de sa ville de naissance, Laon/Noal, – Jean de la Tardoire, Yves Chorsin, Jacques de Brévalles… Si son œuvre policière est ici mise en avant par OXYMORON Éditions, – ligne éditoriale oblige, – il ne faut pas oublier que H.-J. MAGOG a surtout marqué et marque encore les lecteurs par ses récits d’anticipation dont « L’homme qui devint gorille » et « Trois ombres sur Paris » sont probablement les meilleurs exemples en la matière. Dommage que, malgré une bibliographie conséquente, une renommée qui ne s’est pas complètement tarie à l’heure actuelle et le fait qu’il ait été secrétaire général du Syndicat des Romanciers Français en 1927, vice-président de la SGDL (Société des Gens De Lettres) à partir de mars 1928, puis, secrétaire général de la même SGDL et fut promu Officier de la Légion d’Honneur de l’Éducation Nationale en novembre 1936, l’on sache si peu de chose sur l’homme que fut l’auteur. Encore plus dommage que, bien que sa réputation surpasse à l’heure actuelle celle de la plupart de ses confrères de l’époque, celle-ci ne résonne plus que dans le cœur et dans la tête d’un groupe restreint de lecteurs passionnés de littérature d’antan. Car le talent et l’imagination dont fit preuve H.-J. MAGOG durant sa carrière sont toujours à même de charmer le lectorat d’aujourd’hui et il serait temps que le grand public redécouvre cet auteur afin que celui-ci retrouve un statut d’écrivain populaire à succès que jamais il n’aurait dû perdre. Nous ne savons pas si la renommée de H.-J. MAGOG retrouvera de sa superbe et si, tel le phénix, ses textes renaîtront des cendres du passé pour subjuguer les âmes du présent, mais cette collection que nous lui dédions est incontestablement la première pierre posée à l’édification de son retour à la gloire qu’il mérite tant.
Recueils de deux petits récits policiers
Les aventures du détective Francis Bayard alias le « Sphinx » par Jean des Marchenelles
MANDRAGORE Un héros extrêmement séduisant. Une série d’aventures fertiles en rebondissements imprévus. Un style étincelant de bout en bout, sous la plume du romancier moderne HENRY MUSNIK (Claude ASCAIN) qui possède au plus haut point le don de raconter, d’intriguer, d’émouvoir. Ce roman policier, d’aventures et d’amour sera publié en une série de volumes tout à fait réduite qui comprendra le maximum de lecture pour le minimum de prix. Nous sommes persuadés que les lecteurs s’intéresseront à cette œuvre nouvelle, une des meilleures parmi toutes celles que l’on doit à ce remarquable écrivain. Chaque volume grand format, couverture illustrée en couleur 10.000 doubles lignes de lecture
Récits patriotiques sur des évènements de la première Guerre Mondiale. Première publication entre 1917 et 1920.
Les enquêtes du détective Sébastien Renard de Marcel Priollet
Les aventures de Jack Desly, cambrioleur né de la plume de Claude Ascain
Les enquêtes à travers le monde de Césaire RABASCASSE, un Gascon et son collègue Tom BROWNING, un Américain, détectives de l'agence « Browning & C° ».
Les aventures de Daniel Marsant, agent du Deuxième Bureau, à la poursuite du génie du crime, l'Homme aux cent masques et aux mille noms, le Grand Maître.
Ils sont jeunes ! Ils sont beaux ! Ils sont follement amoureux ! Lui, c'est Dick Reutel, le premier détective d'angleterre. Elle, c'est Betty, sa tendre épouse.
Comme le laisse entendre le titre de la série, Iko Terouka est un détective, il est japonais et, en plus, il est célèbre. L’homme parcourt le monde pour résoudre les plus intrigantes affaires, affronte les pires dangers, mais finit toujours par s’en sortir et par arrêter les méchants. José Moselli nous propose une nouvelle fois du roman policier d’aventures comme il sait si bien en écrire. D’ailleurs, les lecteurs de la série « M. Dupont, détective », du même auteur, ne seront pas dépaysés (malgré les voyages incessants), car les deux séries sont très proches dans l’esprit et dans le style.
Les enquêtes du commissaire Mazère de Maurice Lambert
Les enquêtes de l'inspecteur Sive de H.-J. MAGOG
Les enquêtes de l'inspecteur Machard de Maurice Lambert
Les enquêtes de l'inspecteur Paul Méral de Charles Marcellus
L'inspecteur Grey, au départ, est un personnage de théâtre, créé en 1932 par l'auteur Alfred Gragnon, fils d'un préfet de police et avocat à la cour. À la suite du succès de la pièce, « Inspecteur Grey » fut très vite adaptée au cinéma, en 1936. Le policier poursuivit ses investigations, tant sur les planches que sur la toile jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. La collection « Les enquêtes de l'inspecteur Grey » regroupe, pour le plus grand plaisir des lecteurs, les dix récits publiés entre 1937 et 1940 seules traces sur papier de la carrière du personnage, si l'on excepte les retranscriptions de la pièce de théâtre.
Les aventures de l'inspecteur Doublet, en Amérique du Sud et ailleurs.
La lutte acharnée entre Jim Paterson, alias Mister Silence, ancien agent américain, et La Main Jaune, le terrible chef d'une organisation criminelle internationale.
Les aventures de Mister Nobody, l'Homme au masque de satin, gentleman cambrioleur londonien et de son fidèle valet, Jonas Cobb, alias Froggy.
A. B. C. Mine est un quinquagénaire rondouillard, jovial et sans gêne qui a la fâcheuse habitude de s'occuper des affaires des autres... surtout quand elles cachent un mystère ou un crime...
Les aventures de Luc Hardy, jeune millionnaire devenu détective pour fuir l'ennui et par goût de la Justice.
Les aventures fantastiques de Paul Dumviller, alias Doum, reporter au journal Paris-Monde.
Les enquêtes du commissaire Jean-Marc Rombal, alias le Brigadier Gris
Les aventures de Léonce Capoulin, journaliste à l'Étincelle
Un écrivain raté se reconvertit en détective et fait équipe avec un ancien boxeur professionnel, malfrat repenti.
La collection « VIDOCQ » est le résultat de la numérisation de la collection fasciculaires éponymes publiée aux éditions de l’Étrave en 1943. Elle regroupe onze titres d’auteurs pour la plupart inconnus.
Les aventures mouvementées à travers le monde de Jim Paterson, alias Mister Silence, ancien agent du F.B.I..
À New York, on l’avait surnommé L’Ange, en raison de son physique fait de douceur et de naïveté apparentes. On lui connaissait également une autre identité, celle d’Edward Warency, mais personne ne pouvait affirmer son authenticité. Un jour, il avait surgi on ne sait d’où pour se mêler aux grandes affaires de la pègre américaine sans y être invité. Il mettait en pratique une étrange théorie : selon lui, ceux qui excellent à s’approprier le bien d’autrui protègent très mal le leur. Il s’agissait donc de laisser courir les risques aux autres, puis d’intervenir au bon moment. Plus d’un criminel notoire avait fait, à ses dépens, l’expérience de ces principes.
Les enquêtes du brigadier puis inspecteur Girard, un personnage né en 1935 de la plume de l'écrivain André Charpentier.
Les enquêtes de l'agence de détectives Iggin & C°
Les enquêtes de l'inspecteur Gonzague Gaveau alias Le Professeur
Une collection regroupant des romans policiers bretons d'antan. Cette collection commencera par l'œuvre policière de Yann le Cœur, de son vrai nom Jean-Marie Le Lec (1902-1951), qui, à travers six romans, mit à l'honneur la Bretagne tant par sa géographie, ses habitants mais également par ses us et coutumes et son langage...
Collection consacrée aux textes de Marcel Priollet, auteur phare de la littérature populaire de la première moitié du XXème siècle afin de permettre aux lecteurs d'aujourd'hui de découvrir cet écrivain d'hier.
Cadavre exquis loufoque : Scénario original de Jean LEC, adapté et dialogué par : Jean MARSAC, Roger SALARDENNE, Raymond SOUPLEX, Robert ROCCA. Mis en images par Maurice HENRY. Le scénario a été découpé et distribué aux quatre adaptateurs. Chacun développera son épisode, cherchant naturellement à mettre son successeur devant les situations les plus inextricables. Il aura le droit de transporter les personnages dans toutes les parties du monde, de créer d’autres héros et de tuer ou faire disparaître tous ceux qui le gênent. Il pourra donc donner libre cours à sa fantaisie, pourvu qu’il suive l’action du scénario original. Cependant, il lui est interdit de tuer les deux héros de l’histoire. Il ne peut pas non plus les faire changer de sexe et il n’a pas le droit d’amener la fin du monde.
Cette collection regroupe des récits noirs de l'auteur J.-A. Flanigham.
Les aventures de Michel Vaudreuil, agent du Deuxième Bureau sous les ordres du capitaine Lhomet.
Les enquêtes de l'inspecteur Marcellin.
Collection regroupant divers textes de Maurice Lambert
La collection « Les Trois As » est le résultat de la numérisation de la collection fasciculaires éponymes publiée aux éditions Chantal en 1941.
Collection regroupant des récits écrits par Raoul Antoni Lematte (1885-1956) sous le pseudonyme de Jean Normand.
Jamais un être au physique aussi insignifiant n’avait inspiré autant de respect pour ses nombreux diplômes – docteur en philosophie, en droit, en médecine... – et son incroyable capacité à résoudre les plus grands mystères que le professeur Augustus S. F. X. Van Dusen. Malgré sa petite taille, sa maigreur, ses rides, son énorme tête et son immense front surmonté d’un casque de cheveux jaune paille, ses grosses lunettes derrière lesquelles des yeux bleus continuellement plissés vous observent sans ménagement, son caractère grincheux et sa façon de vous parler sans ambages, le professeur Augustus S. F. X. Van Dusen en imposait tant qu’on le surnommait « La Machine à Penser ». Sa logique implacable lui valait d’être souvent dérangé par la police ou par le journaliste Hutchinson Hatch pour les aider à découvrir la clé d’énigmes indéchiffrables. Il interrompt alors de mauvaise grâce ses expériences, accepte de quitter son laboratoire pour apporter les réponses aux questions bien que la plupart du temps, il lui suffit, pour cela, de prendre connaissance des divers éléments de l’affaire, n’hésitant pas à envoyer le reporter les chercher à sa place. En effet, pour lui, un crime n’est qu’une équation parmi tant d’autres, qui trouve sa solution par un examen minutieux des différentes données et un simple calcul. Car, comme il aime à le répéter : « Deux et deux font quatre. Jamais parfois, ou quelques fois, mais toujours quatre ! » Le professeur Augustus S. F. X. Van Dusen, alias « La Machine à Penser », est un personnage créé par l’écrivain américain Jacques FUTRELLE. Il apparaît en 1905 et résout une cinquantaine de « problèmes » avant que son auteur ne disparaisse au petit matin du 15 avril 1912 dans les eaux glacées de l’océan Atlantique Nord dans le naufrage du « Titanic » sur lequel il avait embarqué avec son épouse pour rentrer d’un voyage en Europe. Sa femme, Lily May PEEL, survécut à la catastrophe en montant dans un canot de sauvetage, emportant avec elle une partie des derniers manuscrits de son mari, dont quelques-uns des « problèmes » de « La Machine à Penser » qu’il avait écrits durant son ultime périple. Si quelques récits furent traduits en français depuis, la grande majorité demeurait, jusqu’alors inaccessible aux lecteurs francophones. Ce n’est plus le cas désormais...
Une collection regroupant des petits romans policiers du siècle dernier écrits par divers auteurs
Les aventures de Bill Disley, le célèbre journaliste et son acolyte Jeff, ancien boxeur professionnel et pickpocket.
Une collection regroupant les divers récits mettant en scène le personnage d'Henri Merville, commissaire de Police. Ces enquêtes furent initialement publiées entre 1948 et 1955 et furent signées de différents pseudonymes du même énigmatique auteur : Luc Vattier, Louis Hellais et Lydie Servan.
Miss BOSTON LA SEULE DÉTECTIVE-FEMME DU MONDE ENTIER LES PLUS CURIEUSES ET LES PLUS CAPTIVANTES AVENTURES DE DÉTECTIVE EN AMÉRIQUE QUI SERONT LUES DE TOUS LES LECTEURS FRANÇAIS, LESQUELS NE MANQUERONT PAS DE LES SUIVRE ASSIDÛMENT CHAQUE SEMAINE Miss BOSTON LA SEULE FEMME DÉTECTIVE Les mémoires et souvenirs de la seule femme détective qui existe actuellement ont obtenu en Amérique, où elle est connue et admirée, un succès sans précédent. Ce succès sera certainement celui que lui réservera le public français qui a la primeur de ces aventures. On aurait tort de les confondre avec des publications similaires qui relèvent plutôt du roman que de la vérité. Les aventures de MISS BOSTON, LA SEULE FEMME DÉTECTIVE, ont été traduites sur le manuscrit original dont M. A-A. R. a obtenu pour la France et l’Europe, l’exclusive propriété, par la lettre suivante : New York, le 3 septembre 1908 Cher Monsieur, Bien volontiers, je vous accorde l’autorisation exclusive de faire traduire en français, en anglais et en allemand, le récit de mes aventures. La première partie du manuscrit que je vous adresse contient les principales d’entre elles et je souhaite que le public français prenne autant plaisir à les lire que je pris à les exécuter. Ces aventures sont toutes celles qui m’arrivèrent personnellement ou en compagnie de mon regretté maître, le célèbre détective William Hopkins. Vous seul avez donc le droit de les traduire et de les publier. Merci du chèque. Cordial shake hand MISS BOSTON. Ces quelques lignes confirment éloquemment l’authenticité de ces aventures. On ne saurait en trouver de plus ÉMOUVANTES, de plus DRAMATIQUES, de plus MYSTÉRIEUSES, de plus ANGOISSANTES. C’est en un mot la véritable vie du détective révélée avec tous ses dangers, tous ses secrets, tous ses mystères par une femme qui, grâce à son courage et à son audace, fut l’héroïne de ces drames souvent sanglants. La première série de MISS BOSTON, LA SEULE FEMME DÉTECTIVE, comprendra dix fascicules paraissant chaque semaine avec de magnifiques illustrations de maîtres, chose qui ne s’était jamais faite jusqu’à ce jour ; ces fascicules seront en vente chez tous les libraires, dans toutes les gares et les kiosques au prix de 0 fr. 25 chaque aventure complète en un même fascicule.
Les enquêtes du détective Jacques de Villefort
Des récits policiers issus principalement de rééditions de fascicules de 32 pages de la collection « Le Roman Policier » des éditions Ferenczi (1916-1923)
Le commissaire Levert est un personnage né de l'imagination de Jean-Toussaint Samat dans les années 1930.
Florac et La Glu sont deux détectives travaillant pour la Sûreté. Florac est le patron, La Glu, le jeune assistant à la gouaille des rues. L’un est la tête, l’autre, les jambes et les bras. Florac réfléchit, La Glu agit. Florac déduit, La Glu écoute. Florac est calme et pondéré, La Glu est impatient et grognon. Florac et La Glu, un duo attachant du fait de la disparité et la complémentarité des deux partenaires.
Les enquêtes de l'Inspecteur Principal Poncet, par Henry DE GOLEN
« Nick CARTER », est-il nécessaire de le rappeler, est un détective privé de fiction qui fit le bonheur de la littérature populaire du début du XXème siècle dans le monde entier.
Nat pinkerton, le plus illustre Détective de nos Jours. (1908) Dans les aventures tirées des Mémoires du détective Nat Pinkerton que nous offrons au public, sont consignés les événements les plus marquants et les plus émouvants de la vie de ce détective privé, dont le nom est tous les jours cité avec admiration en Amérique, et dont l’Office ou Bureau spécial, fondé par lui à New York, s’est acquis une renommée éclatante et universelle. En effet, Nat Pinkerton n’est pas un personnage fictif. Il a réellement vécu, donnant, dans tout le cours de sa carrière, les preuves les plus frappantes d’une énergie indomptable et de talents naturels de premier ordre, développés au plus haut degré par l’étude non moins que par la pratique, et grâce auxquels il savait découvrir les mobiles et les auteurs des crimes les plus mystérieux. Est-il une plus grande et plus belle attitude que celle de cet homme, qui, au mépris des plus effroyables dangers, endurant parfois des angoisses et des souffrances inouïes, risque à toute heure sa santé et son existence à la poursuite des malfaiteurs dont il veut purger la société ? On peut dire que Nat Pinkerton a eu la terre entière pour champ d’action, et que l’œuvre de sa vie assure à son nom, dans l’Histoire de la criminalité, dans tous les pays et en tous les temps, une mémoire immortelle, dont rien ne peut effacer l’éclat. Cela est si vrai que Nat Pinkerton, mort tout récemment, a donné le nom illustré par lui à une École de Détectives déjà célèbre, où les jeunes hommes que leurs dispositions naturelles et leur sentiment du bien public portent à vouer leurs forces à défendre la Société en combattant l’armée du Crime, trouvent un enseignement qui consacre sa méthode merveilleuse et qui perpétue son esprit. L’intérêt passionnant et le prix modique de ces récits, que tous peuvent lire, feront à la mémoire de Nat Pinkerton beaucoup d’amis parmi les lecteurs français, que la vérité passionne, car ces histoires de Détective si empoignantes et si variées ne doivent rien à la fantaisie et sont toutes fondées sur des faits.
POLAREKE, un « belgicisme » né de la contraction du mot « Polar » et du suffixe « eke » si cher à nos voisins pour désigner quelqu’un ou quelque chose avec affection, est une collection destinée à rendre hommage aux auteurs belges de la littérature populaire policière de langue française par trop oubliés ou méconnus. Car le plat pays n’a pas enfanté que Georges Simenon, Stanislas-André Steeman ou Jean Ray, et que si ces arbres sont majestueux, ils cachent une forêt de plumes toutes plus intéressantes les unes que les autres. Aussi, était-il temps de mettre en avant ces auteurs qui ont tant contribué à l’épanouissement de la littérature populaire policière. C’est le rôle de la collection « POLAREKE ».
5 enquêteurs ou criminels récurrents / 5 récits
Arthur J. Raffles est un gentleman cambrioleur né en 1898 de la plume de Ernest William Hornung, ami et beau-frère d'Arthur Conan Doyle, le père de Sherlock Holmes. Arthur J. Raffles est également le personnage qui inspira Maurice Leblanc au moment de créer son célèbre Arsène Lupin.
Les enquêtes de la première femme détective de la littérature policière. Par Emma Orczy
On pense souvent à tort que la participation de la gent féminine à la littérature populaire, en général, et policière, en particulier, est à quelques exceptions près assez récente. Mais, si le monde du polar fait actuellement une part belle à la plume féminine, c’était déjà presque le cas au tout début du genre, même si cela peut surprendre. Effectivement, les hommes ne furent pas les seuls à se laisser influencer par les aventures du détective du 221 B Baker Street et à créer leur propre enquêteur pour lui faire vivre des aventures courtes, sous forme de nouvelles dédiées à des journaux et des magazines ou plus longues destinées au format roman. Il était temps de rendre hommage aux femmes ayant posé les bases du roman policier, en Amérique, en Angleterre ou ailleurs… C’est désormais chose faite avec la collection « Les Reines du Roman Policier »…
Mrs Henry Wood (1814 - 1887) fut une prolifique femme de lettres britannique de l’époque victorienne. Elle accède à la célébrité avec le succès de son premier roman « East Lynne », posant les bases du « roman à sensation » – précurseur du roman policier – dont elle deviendra l’une des principales représentantes. À partir de 1867, elle écrit pour un magazine 90 récits mettant en scène le jeune Johnny Ludlow qui nous narre ses aventures, des histoires parfois potaches, parfois mystérieuses à base de meurtres, de disparitions… ou encore fantastiques… Retrouvez dans cette série le tout premier épisode « Couper la queue des poneys », absent du recueil publié dès 1874…
Collection regroupant des récits policiers issus de la plume d'auteurs anglophones du siècle dernier.
Max Carrados, un jeune rentier, a toujours rêvé de devenir détective. Quand Louis Carlyle, un ami d’autrefois, désormais enquêteur privé, fait appel à ses connaissances en numismatique dans le cadre d’un dossier qu’il doit gérer, Max Carrados voit là l’occasion parfaite de se lancer dans le métier. Mais Louis Carlyle, malgré l’aide apportée par celui-ci, prend d’abord cette lubie comme une farce, Max Carrados étant aveugle depuis un accident de cheval survenu des années auparavant. Pourtant, Max Carrados va rapidement le convaincre que, bien qu’il soit atteint de cécité, il est capable de percevoir bien des choses qui échappent aux yeux des gens… Ernest Bramah (1868-1942), journaliste et écrivain prolifique n’eut de cesse de justifier les aptitudes apparemment hors norme de son personnage Max Carrados en les comparant avec celles, non moins extraordinaires, d’hommes et de femmes réellement atteints de cécité comme le magistrat anglais John Fielding (1721-1780) en mesure d’identifier plus de 300 criminels au son de leurs voix ou encore l’Américaine Hellen Keller (1880-1968), sourde, muette et aveugle depuis l’âge d’un an et demi, ce qui ne l’empêcha pas d’obtenir son diplôme universitaire et d’écrire une douzaine de livres…
Les enquêtes de l'inspecteur Moulin et de son vieil ami, le rentier M. Ploc
Retrouvez les enquêtes hétéroclites de Léon Mardoche.
Les aventures de la jeune Tzigane, Hagar Stanley qui, devant prendre la relève de son défunt oncle à la tête d’une boutique de prêteur sur gages se retrouve confrontée à des mystères liés aux objets qui lui passent entre les mains…
M. Saxon, le dramaturge, ne s’attendait pas à recroiser, huit ans plus tard, la jeune Dorcas LESTER à qui il avait permis de fouler les planches et de commencer sa carrière de comédienne. Depuis, Dorcas LESTER est devenue Dorcas DENE en épousant un artiste peintre prometteur et l’actrice s’est reconvertie, à la suite des aléas de la vie, en détective à la grande réputation.
Hugh Cosgro WEIR (1884-1934) est un journaliste, éditorialiste, scénariste et écrivain. Il est principalement connu pour avoir créé en 1913 la détective Madelyn MACK, personnage qui lui a été fortement inspiré par Mary Holland (1868-1915), une véritable détective qui fut l’une des pionnières de l’utilisation, lors de ses enquêtes, des empreintes digitales.
Une collection de 11 fascicules parue en 1945 aux éditions André Bonne.
Nous suivre